Après de nombreuses années passées au sein de grandes compagnies pharmaceutiques et dans le domaine du capital-risque lié aux sciences de la vie, j’ai pu mieux comprendre et apprécier le processus complexe et néanmoins gratifiant qu’est celui de la découverte du médicament. J’ai accepté de me  joindre au Conseil d'administration d’IRICoR il y a maintenant plus de dix ans, car j’ai été immédiatement séduit par son modèle innovant de valorisation et d’accélération de la recherche visant à développer de nouvelles thérapies médicamenteuses pour le bénéfice des patientes et patients.

Cela n’aurait pas été possible sans la confiance et l’adhésion témoignées par les gouvernements fédéraux et provinciaux avec des soutiens financiers renouvelés. Il faut le souligner.

Je suis fier de vous présenter ce rapport annuel qui vous permettra d‘apprécier le travail accompli par Nadine et son équipe au cours des douze derniers mois, tout en s’inscrivant dans la continuité d’un effort initié il y a bien plus longtemps. Une conclusion s’impose : IRICoR est désormais une institution pancanadienne respectée jouissant d’une forte réputation internationale.

Au moment de la publication de ce rapport, nous vivons une pandémie sans précédent. Celle-ci démontre l’importance de financer davantage la recherche afin que des réponses thérapeutiques continuent de voir le jour, tant dans un contexte de crise sanitaire que pour pallier des problématiques de santé publique, telles que le cancer et les maladies rares.

Porté par cette mission de valorisation de la recherche, IRICoR poursuit ses efforts en ce sens, aux côtés de ses partenaires, convaincu de l’importance de fluidifier le lien entre la recherche innovante et le milieu pharmaceutique, en vue de répondre à des besoins insuffisamment ou non satisfaits.